Moscou compte parmi les leaders en matière de production et d'exportations d'armes et de technologies militaires. Cependant, il existe trois produits que «la Russie n'acceptera jamais de vendre», note le site chinois Jinri Toutiao.
Ainsi, les sous-marins du projet 955 Boreï, d'un tirant d'eau de 24.000 tonnes, ne diffuse que 108 décibels. Cette technologie permet aux sous-marins nucléaires, ces véritables «tueurs marins», de devenir encore plus discrets, selon l'article.
Le système de missiles Sarmat, qui possède une énorme puissance meurtrière mais peut aussi surmonter les moyens de défense antimissile les plus sophistiqués, notamment grâce à «l'attaque orbitale» (autrement dit quand le missile met la charge en orbite pour plonger vers le sol avant d'avoir effectué un tour complet de la Terre, et de ce fait peut tirer en passant par le pôle sud pour contourner les défenses ennemies. ndlr), selon l'auteur.
«On peut dire que les développements russes dans ce domaine sont largement en avance sur leur temps», lit-on dans l'article.
La sphère des technologies militaires représente un point faible de l'industrie chinoise, selon l'auteur. C'est pourquoi la Chine est très intéressée par un partenariat avec Moscou en la matière.