«Les gens se sont tournés vers Twitter pour exprimer leur frustration et leur fureur contre M. Conrad et plutôt que de les diriger vers lui, c'est moi qui les reçois», a déclaré le présentateur dans son émission matinale, évoquant «des menaces de mort en français».
«Je ne suis pas le rappeur français Nick Conrad. J'ai passé les 20 dernières minutes à traduire des menaces de mort!», a-t-il déclaré sur Twitter. Il a en outre condamné les paroles du morceau intitulée «PLB».
Suite à la diffusion de ce clip, le parquet de Paris a ouvert ce mercredi une enquête pour «provocation publique à la commission d'un crime ou d'un délit». Dans un entretien accordé au Parisien, le rappeur a affirmé avoir «voulu inverser les rôles de l'homme blanc et de l'homme noir» et expliqué que le «choc était voulu», «mais pas à un tel niveau».