La Chine, le plus gros détenteur de la dette publique américaine, y a réduit ses investissements de 7,7 milliards de dollars (6,6 milliards d'euros), selon les dernières statistiques du département du Trésor des États-Unis.
Depuis novembre 2017, la Turquie a continuellement réduit ses investissements dans les obligations du gouvernement américain, leur volume étant à l'époque de 61.2 milliards de dollars.
En juin dernier, la Chine était en tête de la liste, avec des investissements estimés à 1.178 milliards de dollars, ce qui était toutefois de 0,4% plus faible qu'au mois de mai.
Au mois d'août, le Japon occupait la deuxième place avec des investissements plus faibles de 1,75% par rapport au mois précédent et estimés actuellement à 1.030 milliards de dollars.