Des chercheurs de l'université de Toronto, de l'université Rush et de l'université Paris Diderot ont analysé les données de 3.500 personnes des États-Unis, du Canada et de France âgées de plus de 70 ans dont une partie souffrent de la maladie d'Alzheimer, les autres sujets étant sains, relate la revue PLOS Medicine.
Ainsi, le cerveau apparaît 4,8 ans plus jeune en été qu'en hiver, ont constaté les chercheurs. Le dépistage de la démence est en outre plus efficace en hiver et au printemps, précise Daily Mail.
Les personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer ont également connu des «creux» en hiver, en raison des «rythmes saisonniers» de certaines protéines, qui semblaient rendre les gènes liés à la démence plus actifs dans le cerveau.
Deuxièmement, en été, nous avons tendance à être plus actifs, à avoir une meilleure alimentation et à avoir de meilleures habitudes de sommeil.
Troisièmement, il existe un trouble dépressif saisonnier inquiétant qui touche un grand nombre de personnes en hiver. Ces rythmes saisonniers dans notre état psychologique pourraient également mettre en avant le lien entre les saisons et la cognition.