Le chef d'état-major français a déclaré jeudi que ses forces étaient prêtes à mener des frappes en Syrie, si des armes chimiques étaient utilisées lors de l'offensive prévue par le gouvernement syrien pour reprendre la province d'Idlib, dans le nord du pays.
Le chef des forces armées, François Lecointre, a déclaré qu'il s'attendait à ce que les derniers foyers de résistance de Daech* en Irak et en Syrie soient éradiquées d'ici la fin novembre.
Commentant récemment la frappe des Forces aérospatiales russes sur des cibles terroristes à Idlib, le ministère russe des Affaires étrangères a déclaré que la Russie poursuivrait la lutte contre les terroristes jusqu'à leur élimination définitive. Comme l'a noté Mme Zakharova, ce n'est pas dans le but d'une «agression» que ces frappes sont menées, mais pour détruire les positions des terroristes utilisées lors de leurs attaques répétées visant l'armée gouvernementale syrienne, la population civile et les militaires russes déployés en Syrie à la demande des autorités légitimes du pays.
*Organisation terroriste interdite en Russie