C'est dans la capitale allemande que ce jeune Syrien, qui a voulu garder l'anonymat en choisissant le pseudonyme Bahri, a réussi à réaliser ses fantasmes les plus intimes, a-t-il livré dans une interview accordée au magazine mensuel américain Vice.
«Ce réfugié syrien a découvert sa véritable sexualité à Berlin», indique le texte de l'article.
Trois ans après que Bahri et sa famille se sont réfugiés en Allemagne, le jeune homme ne s'est pas contenté de trouver un travail pour gagner sa vie (il travaille comme serveur et agent de nettoyage). Il a aussi réalisé son fantasme de devenir un esclave sexuel, laissant parler son masochisme:
«J'aime quand on m'attache et me frappe. J'aime aussi quand on me tient en laisse et quand j'aboie comme un chien. J'aime la douleur», a-t-il raconté, cité par le magazine.