«Un rôle important dans le retour des Syriens dans leur pays devait être attribué à l'Onu, en particulier, au Haut-commissariat des Nations Unies pour les réfugiés. Pour le moment, il a une attitude assez passive, probablement, surtout à cause de la directive intérieure du secrétariat de l'Onu élaborée à la fin de l'année dernière par son département chargé des questions politiques sans avoir consulté les pays membres», a-t-elle souligné.
Le 20 août, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a déclaré que le département politique de l'Onu avait publié à la fin de l'année dernière une directive secrète interdisant aux unités onusiennes de participer à la reconstruction de la Syrie.
Selon Sergueï Lavrov, Moscou a envoyé une demande au secrétaire général des Nations unies au sujet de cette interdiction.