«Il y a des nuances dans tout parcours. Rien n'est noir ou blanc. J'ai vécu un enfer, j'en suis revenue et je suis reconnaissante [à la vie] de toutes ces cicatrices. J'ai vécu des trahisons et des chagrins d'amour sous de nombreuses formes. J'ai eu des déceptions dans des partenariats professionnels comme personnels qui m'ont fait me sentir négligée, perdue et vulnérable.»
It’s here! @Beyonce stars on the cover of our September issue. Read the full story, in her own words: https://t.co/T7E2FbGDPn pic.twitter.com/GcX0ziiJD7
— Vogue Magazine (@voguemagazine) 6 августа 2018 г.
La célèbre interprète a souligné qu'elle avait toutefois «appris à rire et à pleurer» en traversant «tout cela».
«Je regarde la femme que j'étais lorsque j'avais une vingtaine d'années et je vois une jeune femme qui devient de plus en plus sûre d'elle-même mais qui veut faire plaisir à tout le monde autour d'elle. Aujourd'hui, je me sens bien plus plus belle, sexy, intéressante. Et bien plus puissante.»
Beyoncé, qui a donné naissance aux jumeaux Rumi Carter et Sir Carter il y a un an, s'est en outre confié au magazine sur ce qu'elle avait vécu avant et après l'accouchement et sur l'attitude de son mari, Jay-Z.
«Je pesais 98 kilos le jour où j'ai accouché de Rumi et Sir. J'étais enflée à cause d'une toxémie et je suis restée alitée depuis plus d'un mois. Ma santé et celle de mes bébés étaient en danger, alors j'ai eu une césarienne d'urgence. Nous avons passé plusieurs semaines en soins intensifs néonatals. Mon mari [Jay-Z, ndlr] a été un soldat et un soutien très fort pour moi», a notamment dit Beyoncé.
Selon la chanteuse, elle est «fière d'avoir été témoin de sa force et son évolution en tant qu'homme, meilleur ami et père».