Au cours de leur recherche, ils ont étudié un échantillon de 35 personnes. Les bénévoles ont été divisés en deux groupes. Le premier groupe était invité à résoudre six problèmes mathématiques en 30 secondes et ses membres devaient ensuite faire un exposé sur un sujet inconnu. Dans le même temps, les participants du second groupe étaient appelés à faire des calculs assez simples.
Par la suite, les spécialistes ont demandé aux bénévoles de se rappeler des situations difficiles de leur vie et de les noter.
La deuxième étape de la recherche s'est déroulée dans le Colorado avec la participation de 28 pompiers. Les bénévoles ont été soumis aux mêmes tests que ceux de la première phase.
Finalement, l'hypothèse des chercheurs selon laquelle un individu maîtrise mieux les informations négatives dans une situation du stress a été confirmée.