De nouvelles recherches sur les données sismiques menées entre 1973 et 2016 ont montré qu'une fenêtre de trois jours tendait à suivre les grands tremblements de terre, au cours de laquelle d'autres séismes sont plus susceptibles de se produire, relate le journal The Daily Mail.
Large earthquakes can 'trigger other quakes' on the other side of the world: Oregon State study https://t.co/ggvb5Cr7bC pic.twitter.com/IEEn6cMcav
— The Oregonian (@Oregonian) 3. August 2018
Ainsi, la nouvelle étude des scientifiques de l'Oregon State University constate une augmentation «clairement détectable» des tremblements de terre de magnitude 5 ou plus après le premier séisme.
En outre, ils ont découvert que des tremblements de terre d'une magnitude élevée déclenchaient souvent d'autres tremblements de terre en dehors de la «zone de riposte» dans les jours qui suivaient.
the Cascadia Subduction Zone is a stretch of plate boundary thats long overdue to rupture at any time. basically, a rupture causes massive earthquakes, tsunamis, and may trigger volcanic eruptions such as the one at yellowstone. the affected area is the majority of North America pic.twitter.com/UlmlGwEiq6
— Danny🐝 IG: dansthreads (@dansthreads) 1. August 2018
«Les tremblements de terre font partie d'un cycle d'accumulation et de libération de stress tectonique. En tant que zones de failles proches de la fin de ce cycle sismique, des points de basculement peuvent être atteints et un déclenchement peut se produire», ont expliqué les scientifiques.
Global warming won’t just change the weather—it can trigger massive earthquakes & volcanoes https://t.co/kAYX8wNlQ7 pic.twitter.com/DpBBk8oRCF
— Jairaj P (@jairajp) 14. Mai 2016
Ils ont également constaté que ces séismes étaient plus susceptibles de se produire presque exactement de l'autre côté de la Terre, la plupart se produisant à moins de 30 degrés du point opposé au séisme initial.