Sergueï Lavrov, ministre russe des Affaires étrangères, a commenté la volonté de certains pays de se mêler de la situation en Syrie.
«Il y a certains joueurs extérieurs qui auraient préféré décider pour les Syriens de leur destin, qui doit diriger ce pays, comment elle (la Syrie, ndlr) doit être arrangée, ce qui doit être écrit dans la Constitution. Nous ne soutenons pas ces tentatives et nous les considérons comme contreproductives», a-t-il déclaré aux journalistes.
Auparavant, les pays garants du cessez-le-feu en Syrie (à savoir la Russie, l'Iran et la Turquie), à l'issue du dixième tour des négociations sur le règlement syrien dans le cadre du format d'Astana qui s’est achevé à Sotchi, s’étaient dits prêts à résister aux intentions séparatistes qui sapent la souveraineté de la République arabe syrienne.