Retrouvez les compétitions dans ce diaporama réalisé par Sputnik.
© REUTERS / Kim Kyung-HoonLe sumo est une lutte sportive ancienne qui n’est simple que d’apparence. Les compétitions se déroulent sur le dohyo, plaque spéciale en argile battu recouverte de sable sur laquelle est tracé un cercle de 4,55 mètres de diamètre. Le sumo doit pousser son rival en dehors du cercle ou faire en sorte que n’importe quelle partie du corps excepté les pieds touche le sol.
Le sumo est une lutte sportive ancienne qui n’est simple que d’apparence. Les compétitions se déroulent sur le dohyo, plaque spéciale en argile battu recouverte de sable sur laquelle est tracé un cercle de 4,55 mètres de diamètre. Le sumo doit pousser son rival en dehors du cercle ou faire en sorte que n’importe quelle partie du corps excepté les pieds touche le sol.
© REUTERS / Kim Kyung-Hoon82 techniques sont permises mais il existe des interdits. Ainsi, il est défendu de saisir le rival par les cheveux ou de lui tirer les oreilles. Si le sumo le fait ne fut-ce qu’une seule fois pendant le combat, il sera disqualifié.
82 techniques sont permises mais il existe des interdits. Ainsi, il est défendu de saisir le rival par les cheveux ou de lui tirer les oreilles. Si le sumo le fait ne fut-ce qu’une seule fois pendant le combat, il sera disqualifié.
© REUTERS / Kim Kyung-HoonLe combat commence et se termine par un salut. Le sumo salue et remercie ainsi le rival. C’est la première chose qu’on apprend aux novices.
Le combat commence et se termine par un salut. Le sumo salue et remercie ainsi le rival. C’est la première chose qu’on apprend aux novices.
© REUTERS / Kim Kyung-HoonL’essentiel dans ce combat est l’équilibre. La position qui permet de maintenir l’équilibre pendant le combat s’appelle siko. Les guerriers japonais l’utilisaient par le passé pour renforcer l’esprit et le corps. Les sumos font de l’exercice jusqu’à 500 fois par jour.
L’essentiel dans ce combat est l’équilibre. La position qui permet de maintenir l’équilibre pendant le combat s’appelle siko. Les guerriers japonais l’utilisaient par le passé pour renforcer l’esprit et le corps. Les sumos font de l’exercice jusqu’à 500 fois par jour.
© REUTERS / Kim Kyung-HoonAu sumo, le principe de domination morale d'un adversaire a été préservé. Ceci est fait avec l'aide de la position spéciale sonkyo. Les rivaux sont assis immobiles avec leurs mains sur leurs genoux et se regardent droit dans les yeux. C’est une sorte de «confrontation psychologique».
Au sumo, le principe de domination morale d'un adversaire a été préservé. Ceci est fait avec l'aide de la position spéciale sonkyo. Les rivaux sont assis immobiles avec leurs mains sur leurs genoux et se regardent droit dans les yeux. C’est une sorte de «confrontation psychologique».
© REUTERS / Kim Kyung-HoonLe sumo comprend plusieurs éléments de la religion shintoïste: toutes sortes de rites et de cérémonies qui durent généralement plus longtemps que le combat. Les compétitions sont considérées jusqu’à présent comme un événement sacré et le pavillon abritant les combats comme un temple shintoïste.
Sur la photo: des élèves de l’école primaire de sumo attendent d’entrer sur la plateforme sur laquelle se déroulent les compétitions.
Sur la photo: des élèves de l’école primaire de sumo attendent d’entrer sur la plateforme sur laquelle se déroulent les compétitions.
Le sumo comprend plusieurs éléments de la religion shintoïste: toutes sortes de rites et de cérémonies qui durent généralement plus longtemps que le combat. Les compétitions sont considérées jusqu’à présent comme un événement sacré et le pavillon abritant les combats comme un temple shintoïste.
Sur la photo: des élèves de l’école primaire de sumo attendent d’entrer sur la plateforme sur laquelle se déroulent les compétitions.
Sur la photo: des élèves de l’école primaire de sumo attendent d’entrer sur la plateforme sur laquelle se déroulent les compétitions.
© REUTERS / Kim Kyung-HoonPour obtenir et conserver le poids nécessaire, les sumos mangent chaque jour le même plat: le chankonabe, une fondue japonaise de légumes, de champignons, de viande et de tofu. Les sportifs se couchent immédiatement après le repas.
Pour obtenir et conserver le poids nécessaire, les sumos mangent chaque jour le même plat: le chankonabe, une fondue japonaise de légumes, de champignons, de viande et de tofu. Les sportifs se couchent immédiatement après le repas.
© REUTERS / Kim Kyung-HoonLe sumo est pratiqué actuellement dans plusieurs pays mais les combats professionnels sont exclusivement organisés au Japon.
Sur la photo: l’entraîneur rassure un jeune sumo ayant perdu son combat.
Sur la photo: l’entraîneur rassure un jeune sumo ayant perdu son combat.
Le sumo est pratiqué actuellement dans plusieurs pays mais les combats professionnels sont exclusivement organisés au Japon.
Sur la photo: l’entraîneur rassure un jeune sumo ayant perdu son combat.
Sur la photo: l’entraîneur rassure un jeune sumo ayant perdu son combat.