Franceinfo écrit que «la Russie punit l'Espagne» et que cette dernière «invaincue depuis 23 matchs […] n'a jamais trouvé la solution face au bloc russe et a perdu à la loterie des tirs au but».
BFMTV a relancé le débat sur «le style de jeu minimaliste de la Russie » en titrant son article «Le jeu de la Russie contre l'Espagne, une honte ou pas?». Un des invités du plateau a souligné que «la Russie est une équipe très, très moyenne, avec des qualités très, très moyennes».
L'Express appelle le gardien russe Igor Akinfeev «le héros» en ajoutant que la qualification de la Russie pour les quarts de finale est une «grosse surprise».
Le Figaro écrit que c'était «la malédiction» pour l'Espagne et que malgré plus de 1.000 passes, les Espagnols «ne sont jamais parvenus à faire sauter le verrou russe».
La sélection russe de football est parvenue à s'imposer face à l'Espagne en huitième de finale du Mondial, éliminant la Furia Roja aux tirs au but (1-1 (3-4 tab)).
La «malédiction» de l'équipe nationale espagnole dure depuis 84 ans et à cette Coupe du Monde elle «a encore travaillé»: l'équipe nationale espagnole n'a jamais gagné de matchs contre le pays hôte d'une Coupe du Monde ou des championnats d'Europe. L'équipe espagnole a joué huit fois au cours des phases finales contre les hôtes, mais n'a jamais pu remporter une seule fois la victoire.