«C'est ridicule de dire que le contact avec le monde est perdu après un dommage subi sur des câbles. Il y a beaucoup d'autres canaux de communication, de la communication par satellite à la liaison radio ordinaire. C'est pourquoi je pense que ces déclarations sont injustifiées», a indiqué l'expert.
Selon lui, cet article n'est qu'une tentative d'attirer l'attention des médias par celui qui l'a publié.
«Ce n'est pas la première fois que je vois de telles publications sur les travaux effectués par la Direction principale de la recherche en eau profonde de la marine russe. […] Quand les gens ont peur, dénoncer leurs peurs ne sert à rien», a souligné M.Mourakhovski.
«Quand il n'y a pas de calculs et de profondeurs d'immersion, nous pouvons inventer n'importe quoi. […] Je ne vois pas de sens d'en discuter. En raison de l'existence du grand nombre de canaux de communication, il n'y a pas de nécessité de telles opérations», a constaté l'expert.
Il a néanmoins essayé d'expliquer les motivations de l'auteur de l'article de The Hill et de ses interlocuteurs de discuter de ce sujet.
«L'auteur de la publication est un peu préoccupé par la possibilité de problèmes de communication entre le commandement américain et ses groupes à l'étranger. Les États-Unis sont le pays avec le plus grand nombre de troupes à l'étranger et de bases militaires dans d'autres États. Ainsi, la préoccupation est claire en principe. Il faut trouver un ennemi et l'auteur l'a trouvé dans la marine russe», a conclu l'interlocuteur de Sputnik.