Les astronomes rappellent que les orages magnétiques de niveau G1 peuvent conduire à de faibles fluctuations dans les systèmes énergétiques et affecter les systèmes de contrôle des engins spatiaux. De plus, des aurores boréales pourraient être observées à des latitudes à partir de 60 degrés et plus.
Des orages magnétiques se sont déjà produites le 2 juin ainsi que les 6 et 7 mai. Dans le même temps, la tempête la plus intense depuis le début de l'année 2018 a été enregistrée le 20 avril.
En conséquence, la vitesse et la densité des flux de matière s'échappant du soleil augmentent sensiblement, ce qui forme le vent solaire. Plusieurs séries de perturbations géomagnétiques de ce type ont été observées l'année dernière au moment de la transition vers le minimum solaire.