La jeune Belge Carolien van Nunen, qui possède une connaissance approfondie de la langue russe et qui a déjà été bénévole pendant la Coupe des Confédérations en Russie en 2017, a décidé de poser sa candidature pour la Coupe du Monde cette année sans douter un seul instant de ses chances. Pour elle, c'est une possibilité exceptionnelle de se rendre à nouveau dans ce pays et de rencontrer des gens venus du monde entier.
Les responsabilités lors du Mondial
Pendant l'événement sportif, Carolien travaillera au contact des médias. Ainsi, elle sera chargée de délivrer leurs accréditations aux journalistes, de les aider dans la zone mixte, lors des points presse ainsi que de régler des questions liées au transport, par exemple.
Elle n'a aucune inquiétude concernant la sécurité pendant cet événement d'envergure.
«Aujourd'hui, des choses peuvent se passer partout dans le monde, la sécurité à 100% n'existe tout simplement pas. Mais, certainement, la Russie a tout fait pour que la Coupe du Monde 2018 se déroule en toute sécurité», est persuadée Carolien.
Moscou, une ville de rêves
La jeune femme a choisi Moscou parce qu'elle a fait ses études dans cette ville et la connaît «assez bien». Elle s'y sent même comme chez elle.
«J'ai appris le russe à Anvers et à l'Université d'État de linguistique de Moscou pendant cinq mois. C'était il y a 10 ans, mais je garde de bons souvenirs depuis lors. Et après mes études, j'ai visité la Russie pendant neuf fois», a raconté la Belge.
Carolien est une véritable admiratrice du métro moscovite. Il y a deux ans, la jeune femme a pu visiter toutes les stations du métro de Moscou… en une journée et a filmé ce «marathon» en vidéo.
L'hospitalité russe
La Belge a en outre raconté à Sputnik qu'elle avait beaucoup d'amis russes non seulement en Russie mais aussi en Belgique. Elle espère faire de nouvelles connaissances lors de la Coupe du Monde cet été. Outre Moscou, Carolien voudrait se rendre dans des villes russes comme Toula, Dmitrov, Kline.
«J'aime l'hospitalité des gens en Russie et l'ambiance vibrante d'une ville aussi grande que Moscou. Mais en même temps il est bien de se retrouver dans des localités plus petites», a confié la Belge à Sputnik.
Plus tard, elle compte revenir en Russie de nouveau pour visiter la Sibérie, le grand Nord, la Carélie, le Caucase.