Auparavant, les radicaux anti-Assad opérant dans les zones concernées ont rejeté un accord de trêve proposé par le gouvernement syrien, souligne l'agence.
Dans un entretien accordé à Sputnik, le général de brigade syrien Heitham Hassun a estimé que la libération des territoires en question «marquerait une victoire décisive sur les terroristes».
«Cette victoire permettra de couper les routes logistiques via le centre du pays utilisées par les extrémistes, après quoi il restera à libérer les zones occupées par les radicaux dans le nord, le sud et dans la province d'Idlib», a expliqué l'interlocuteur de l'agence.
«Si ce scénario ne se réalise pas, l'armée fera reculer ses adversaires manu militari, comme cela a été le cas dans la Ghouta orientale (…). Cela ne prendra pas longtemps, mais cette option sera utilisée en dernier recours vu les difficultés liées à la nécessité de mener des combats dans les quartiers résidentiels», a indiqué l'officier syrien.