«Si les États-Unis violent les obligations qui sont confirmées par une résolution du Conseil de sécurité des Nations unies, ce seront les États-Unis eux-mêmes qui en suffiront», a déclaré le responsable.
«Pour nous, ce serait avantageux du point de vue économique dans nos relations avec l'Iran. Nous serons en mesure de leur fournir tout ce que nous voudrons», a expliqué M.Ermakov.
Depuis son arrivée à la Maison-Blanche en janvier 2017, Donald Trump menace de se retirer de l'accord conclu en juillet 2015 entre la République islamique et le groupe P5+1 (Chine, États-Unis, France, Royaume-Uni, Russie et Allemagne). Le dirigeant américain qualifie le texte obtenu après de longues négociations à Vienne de «pire accord» jamais approuvé par son pays.
La Russie estime pour sa part que l'accord actuel sur le nucléaire iranien est «sans alternative».