Omar Diab, le père du garçon syrien présenté par les Casques blancs comme une des « victimes » de l‘attaque chimique présumée du 7 avril à Douma s'est déclaré prêt à livrer son témoignage à n'importe quelle organisation internationale afin de prouver que les armes chimiques n'ont pas été utilisées dans cette ville de la banlieue est de Damas.
«Mon fils n'avait aucune trace d''exposition aux armes chimiques. Il a été un peu effrayé, mais il est sain et sauf. Avec ma famille, nous sommes prêts à témoigner n'importe où dans le monde, que cela soit à Genève ou à New York, que les armes chimiques n'y ont pas été utilisées», a-t-il déclaré.
Dans la nuit du 13 au 14 avril, les États-Unis, le Royaume-Uni et la France ont porté des frappes contre la Syrie. Sur 103 missiles tirés, 71 ont été interceptés par la DCA syrienne, a indiqué le ministre russe de la Défense. Le bombardement a été mené au prétexte d'une opération visant à éliminer de prétendues armes chimiques syriennes, suite à l'attaque chimique qui aurait été perpétrée le 7 avril à Douma, près de Damas, selon les pays occidentaux.