Mikhaïl Gorbatchev s'est prononcé sur la situation actuelle en Syrie, qui risque de plus en plus de dégénérer:
«Malheureusement, je ne suis pour le moment pas tous les détails du dossier (syrien, ndlr) puisque je me trouve constamment à l'hôpital. Quoi qu'il en soit, je crois qu'il est encore trop tôt pour mettre un point final et qu'il faut se rencontrer. Se rencontrer ni sur un champ de bataille ni dans les airs, mais se rencontrer pour évaluer la situation actuelle et défaire les nœuds», a affirmé le premier Président de l'URSS à la chaîne Zvezda.
Le Pentagone s'est ensuite déclaré «prêt» à présenter des options militaires pour frapper la Syrie. Pourtant, dans l'après-midi, la Maison-Blanche s'est montrée plus prudente, sa porte-parole Sarah Sanders ayant fait savoir que la décision finale n'avait pas été prise.
The Daily Telegraph a pour sa part annoncé que Theresa May avait ordonné d'envoyer des sous-marins britanniques opérant en Méditerranée à distance de frappe de la Syrie.