Le prince saoudien Saud Al-Faiçal, ex-ministre saoudien des Affaires étrangères décédé en 2015, a laissé derrière lui une ardoise de près de 100.000 euros auprès d'une entreprise française qui produisait des films pornographiques personnalisés, révèle le JDD.
Trois ans après le décès du prince, ses héritiers refusent de payer la facture. La justice française a été saisie.
«Pour préserver la bienséance des débats, la SARL Atyla ne verse pas à ce stade au dossier les films réalisés […] mais se réserve la possibilité de le faire si la SCI 25 avenue Bugeaud persistait à nier la créance», a averti Me Ivan Itzkovitch, avocat de la partie plaignante.
Comme l'a déjà pronostiqué un habitué du tribunal des Hauts-de-Seine, «si ça va au bout, on va rigoler à l'audience!».