Ainsi, en septembre 2013, il a sommé le Président Obama de ne pas attaquer la Syrie, démarche qui serait, selon lui, lourde de conséquences désavantageuses pour les Etats-Unis. Deux jours après, M.Trump a réitéré son appel, invitant le chef de la Maison-Blanche à «oublier la Syrie» et à «rendre sa grandeur à l'Amérique»:
Obama must now start focusing on OUR COUNTRY, jobs, healthcare and all of our many problems. Forget Syria and make America great again!
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) 11 сентября 2013 г.
Auparavant, il avait estimé que les «rebelles» syriens ne valaient pas mieux que le «régime» de Damas. «Qu'obtiendrons-nous en échange de nos vies et de nos milliards? Zéro»:
We should stay the hell out of Syria, the "rebels" are just as bad as the current regime. WHAT WILL WE GET FOR OUR LIVES AND $ BILLIONS?ZERO
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) 16 июня 2013 г.
«Rappelez-vous que tous ces "combattants pour la liberté" en Syrie veulent diriger des avions sur nos immeubles», avertissait Donald Trump en août 2013:
Remember, all these ‘freedom fighters’ in Syria want to fly planes into our buildings.
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) 28 августа 2013 г.
Au mois à deux reprises, le milliardaire républicain a souligné sur son compte Twitter que toute frappe visant la Syrie devait être approuvée par le Congrès:
The President must get Congressional approval before attacking Syria-big mistake if he does not!
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) 30 августа 2013 г.
What will we get for bombing Syria besides more debt and a possible long term conflict? Obama needs Congressional approval.
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) 29 августа 2013 г.
«Que gagnerions-nous à bombarder la Syrie, sinon plus d'endettement et un possible conflit à long terme? Obama a besoin de l'approbation du Congrès».
Or, la présumée attaque chimique à Douma a de toute évidence ému Donald Trump à un tel point qu'il a lui-même oublié de demander l'avis du Congrès avant de menacer la Syrie de frappes imminentes… toujours sur son compte Twitter.