«C'est une de ces questions sur lesquelles toutes les nations, tous les peuples sont d'accord et le sont depuis la Seconde Guerre mondiale, c'est une pratique inacceptable. Je n'écarterais pas l'action militaire», a-t-il déclaré.
Plus tôt dans la journée, Donald Trump a dénoncé sur son compte Twitter une prétendue attaque chimique en Syrie et a écrit que les responsables devraient en payer le prix.
Le groupe extrémiste Jaych al-Islam a accusé les forces gouvernementales d'avoir eu recours le 7 avril à des armes chimiques contre un hôpital de Douma, dans la Ghouta orientale. Les États-Unis se sont alignés sur ces accusations.
Le lendemain, la diplomatie russe a qualifié d’«intox» ces informations.
Le ministère a ajouté que les Casques blancs, cités comme étant l'une des sources de cette information, «ont à plusieurs reprises été pointés du doigt pour leurs liens avec les terroristes».
Le chef du Centre russe pour la réconciliation des parties en conflit en Syrie, le général Youri Evtouchenko, a rappelé ce dimanche que l'opération sur le retrait des radicaux du groupe Jaych al-Islam de la ville syrienne de Douma commençait le 8 avril. Selon lui, certains pays occidentaux entreprennent des mesures pour perturber cette opération, en utilisant le thème de l'utilisation d'armes chimiques par les forces gouvernementales syriennes.