Retrouvez la région la plus méridionale de la planète dans ce diaporama réalisé par Sputnik.
© REUTERS / Alexandre Meneghini L’Antarctique est le continent qui peut se vanter d’avoir le climat le plus rude sur Terre. Cependant, la fonte des glaces est aujourd’hui l’un des problèmes écologiques les plus sérieux du continent. Cela se produit suite au réchauffement global.
Sur la photo: pingouins sur l’île Curverville en Antarctique.
Sur la photo: pingouins sur l’île Curverville en Antarctique.
L’Antarctique est le continent qui peut se vanter d’avoir le climat le plus rude sur Terre. Cependant, la fonte des glaces est aujourd’hui l’un des problèmes écologiques les plus sérieux du continent. Cela se produit suite au réchauffement global.
Sur la photo: pingouins sur l’île Curverville en Antarctique.
Sur la photo: pingouins sur l’île Curverville en Antarctique.
© REUTERS / Alexandre Meneghini La température de l’air s’élève constamment. La glace fond entièrement à certains endroits en été. Les animaux sont contraints de s’adapter à vivre dans de nouvelles conditions climatiques.
La température de l’air s’élève constamment. La glace fond entièrement à certains endroits en été. Les animaux sont contraints de s’adapter à vivre dans de nouvelles conditions climatiques.
© REUTERS / Alexandre Meneghini Il existe au-dessus de l’Antarctique, un trou dans la couche d’ozone. Elle ne protège pas la surface terrestre de l’irradiation solaire, la température s’élève et le problème du réchauffement global s’accentue. Les trous dans la couche d’ozone provoquent des maladies oncologiques, entraînent la mort des animaux marins et la disparition des plantes.
Sur la photo: otaries dans l’île Half Moon en Antarctique.
Sur la photo: otaries dans l’île Half Moon en Antarctique.
Il existe au-dessus de l’Antarctique, un trou dans la couche d’ozone. Elle ne protège pas la surface terrestre de l’irradiation solaire, la température s’élève et le problème du réchauffement global s’accentue. Les trous dans la couche d’ozone provoquent des maladies oncologiques, entraînent la mort des animaux marins et la disparition des plantes.
Sur la photo: otaries dans l’île Half Moon en Antarctique.
Sur la photo: otaries dans l’île Half Moon en Antarctique.
© REUTERS / Alexandre Meneghini Beaucoup de bases scientifiques fonctionnent en Antarctique. L’essence et le mazout, déversés par les moyens de transports permettant aux scientifiques et à l’équipement d’être acheminés sur place, polluent la biosphère. Il faut détruire, en outre, des tas d’ordures et de déchets.
Sur la photo: un immeuble détruit sur l’île Deception en Antarctique.
Sur la photo: un immeuble détruit sur l’île Deception en Antarctique.
Beaucoup de bases scientifiques fonctionnent en Antarctique. L’essence et le mazout, déversés par les moyens de transports permettant aux scientifiques et à l’équipement d’être acheminés sur place, polluent la biosphère. Il faut détruire, en outre, des tas d’ordures et de déchets.
Sur la photo: un immeuble détruit sur l’île Deception en Antarctique.
Sur la photo: un immeuble détruit sur l’île Deception en Antarctique.
© REUTERS / Alexandre Meneghini Le changement climatique se répercute sur la flore. Sur les photos de l’Antarctique prises, il y a 50 ans on ne voit que de la glace alors qu’actuellement on y voit beaucoup de mousses. Qui plus est, des plantes exogènes poussent en Antarctique.
Sur la photo: squelette de pingouin dans l’île de Danko en Antarctique.
Sur la photo: squelette de pingouin dans l’île de Danko en Antarctique.
Le changement climatique se répercute sur la flore. Sur les photos de l’Antarctique prises, il y a 50 ans on ne voit que de la glace alors qu’actuellement on y voit beaucoup de mousses. Qui plus est, des plantes exogènes poussent en Antarctique.
Sur la photo: squelette de pingouin dans l’île de Danko en Antarctique.
Sur la photo: squelette de pingouin dans l’île de Danko en Antarctique.
© REUTERS / Alexandre Meneghini Glaciers de l’île Half Moon en Antarctique.
Glaciers de l’île Half Moon en Antarctique.
© REUTERS / Alexandre MeneghiniDébris d’un baleinier sur l’île Deception en Antarctique.
Débris d’un baleinier sur l’île Deception en Antarctique.
© REUTERS / Alexandre MeneghiniLa pêche du krill antarctique dont dépend directement ou indirectement l’existence des pingouins, des baleines et des otaries, porte préjudice à l’Antarctique et à ses habitants.
La pêche du krill antarctique dont dépend directement ou indirectement l’existence des pingouins, des baleines et des otaries, porte préjudice à l’Antarctique et à ses habitants.
© REUTERS / Alexandre Meneghini Pingouins sur les bords de la baie Neko Harbour en Antarctique.
Pingouins sur les bords de la baie Neko Harbour en Antarctique.
© REUTERS / Alexandre Meneghini L’Antarctique est une région vulnérable, il est nécessaire que sa nature demeure vierge.
Sur la photo: pingouins sur les bords de la baie Neko Harbour en Antarctique.
Sur la photo: pingouins sur les bords de la baie Neko Harbour en Antarctique.
L’Antarctique est une région vulnérable, il est nécessaire que sa nature demeure vierge.
Sur la photo: pingouins sur les bords de la baie Neko Harbour en Antarctique.
Sur la photo: pingouins sur les bords de la baie Neko Harbour en Antarctique.
© REUTERS / Alexandre Meneghini Une colonie d’otaries dans l’île Deception en Antarctique.
Une colonie d’otaries dans l’île Deception en Antarctique.
© REUTERS / Alexandre Meneghini L’homme est responsable du sort de l’Antarctique, dernier continent vierge de la planète.
L’homme est responsable du sort de l’Antarctique, dernier continent vierge de la planète.