«Les organisations internationales ont refusé de coopérer avec le gouvernement syrien, soutenant ainsi les organisations terroristes dans leurs activités illégales. Le ministère syrien des Affaires étrangères a fait la preuve que plus de 140 tonnes de substances toxiques avaient été découvertes dans les territoires libérés», a-t-il déclaré lors d’un point presse organisé aujourd'hui au ministère russe des Affaires étrangères.
Et de rappeler que Damas avait officiellement confirmé sa volonté de contribuer à toute enquête sur le recours aux armes chimiques en Syrie et avait demandé à plusieurs reprises que des experts de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) soient envoyés à Alep, à Khan Cheikhoun et dans la Ghouta orientale. Toutefois, ces sollicitations avaient été à chaque fois rejetées sous prétexte que les zones en question n'étaient pas sûres.