Selon lui, la situation en Irak s’est nettement améliorée pour Bagdad en ce qui concerne le contrôle des territoires du pays.
«C’est extrêmement important pour nous, l’Irak étant un État clé pour la région. La stabilité et la prospérité des pays voisins dépendent largement de lui, spécialement la Syrie. C’est comme des vases communicants. Pour cette raison nous comprenons qu’aucun résultat militaire n’est susceptible de garantir une victoire exhaustive car les actions militaires et la lutte antiterroriste et anti-extrémiste doivent s’accompagner du redressement de l’économie du pays», a souligné le vice-Premier ministre à l’issue d’une réunion de la commission intergouvernementale russo-irakienne.
Le Premier ministre irakien Haïder al-Abadi avait plus tôt évalué à 100 milliards de dollars (près de 81,6 milliards d’euros) les pertes essuyées par le pays durant la guerre contre l’organisation terroriste Daech.