Dans le cadre du programme ECHO (Epigenetic CHaracterization and Observation), le département des projets de recherche avancée du Pentagone, la DARPA, aurait étudié la réaction des cellules de l'ADN humain aux armes biologiques de destruction massive, relate le journal américain Defense News.
Selon les scientifiques, le but de leur travail est «la détection précoce de l'effet des agents d'armes de destruction massive sur le corps humain».
Plus précisément, les chercheurs détectent la partie de l'ADN responsable du stockage d'un «dossier biologique» portant sur l'effet de l'environnement sur le corps humain.
Fin octobre, Vladimir Poutine a fait savoir que du matériel biologique des citoyens Russes était collecté «à travers toute la Fédération de Russie», «dans un but précis et de manière professionnelle».
Par la suite, le porte-parole de l'Air Education and Training Command (AETC) américain, le capitaine Beau Downey, a reconnu que le Pentagone menait bien des travaux sur le matériel biologique des Russes, tout en soulignant que ces travaux étaient liés à l'étude de l'appareil locomoteur humain.