Retrouvez les plus belles images de l’espace prises cette année dans ce diaporama réalisé par Sputnik.
© Photo NASA, ESA, Hubble, HLA; Jesús M.Vargas & Maritxu PoyalCette année, le télescope Hubble est parvenu à prendre des images très détaillées de la nébuleuse d’Orion qui est l’une des plus grandes «pépinières d’étoiles» de notre galaxie, la Voie Lactée. A l’aide de ce télescope, les scientifiques ont pu pour la première fois observer la naissance d’étoiles et de disques protoplanétaires.
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© Photo NASA, ESA, Hubble, HLA; Jesús M.Vargas & Maritxu Poyal
Cette année, le télescope Hubble est parvenu à prendre des images très détaillées de la nébuleuse d’Orion qui est l’une des plus grandes «pépinières d’étoiles» de notre galaxie, la Voie Lactée. A l’aide de ce télescope, les scientifiques ont pu pour la première fois observer la naissance d’étoiles et de disques protoplanétaires.
© Photo NASA, JPL-Caltech/Space Science InstituteLe 15 septembre, la sonde Cassini a envoyé ses dernières photos. Lorsque celles-ci sont parvenues sur Terre, l’appareil avait déjà brûlé dans l’atmosphère de Saturne.
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© Photo NASA, JPL-Caltech/Space Science Institute
Le 15 septembre, la sonde Cassini a envoyé ses dernières photos. Lorsque celles-ci sont parvenues sur Terre, l’appareil avait déjà brûlé dans l’atmosphère de Saturne.
© Photo NASALes capsules des vaisseaux Soyouz et Progress amarrées à la Station orbitale internationale. Cette photo a été prise par l’équipage de l’ISS lors des préparatifs d’une sortie extravéhiculaire.
Les capsules des vaisseaux Soyouz et Progress amarrées à la Station orbitale internationale. Cette photo a été prise par l’équipage de l’ISS lors des préparatifs d’une sortie extravéhiculaire.
© Photo NASA/JPL-Caltech/SwRI/MSSS/Betsy Asher Hall/Gervasio RoblesCette année, les données transmises par la sonde Juno ont permis d’établir que le champ magnétique de Jupiter était environ dix fois plus fort que celui de la Terre et de découvrir d’extraordinaires tornades de la taille de la Lune et de la Terre aux pôles de cette géante gazeuse.
Cette année, les données transmises par la sonde Juno ont permis d’établir que le champ magnétique de Jupiter était environ dix fois plus fort que celui de la Terre et de découvrir d’extraordinaires tornades de la taille de la Lune et de la Terre aux pôles de cette géante gazeuse.
© Photo JPL/University of ArizonaA la mi-mai, la caméra High Resolution Imaging Science Experiment (HiRISE) de la sonde spatiale Mars Reconnaissance Orbiter a pris des photos des dunes enneigées situées dans l’hémisphère nord de Mars. Les sommets sont en fait recouverts de dioxyde de carbone sous forme solide, autrement appelé glace carbonique.
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© Photo JPL/University of Arizona
A la mi-mai, la caméra High Resolution Imaging Science Experiment (HiRISE) de la sonde spatiale Mars Reconnaissance Orbiter a pris des photos des dunes enneigées situées dans l’hémisphère nord de Mars. Les sommets sont en fait recouverts de dioxyde de carbone sous forme solide, autrement appelé glace carbonique.
© Photo NASA/ESA/NRAO/AUI/NSF and G. Dubner Les télescopes de la NASA et de l’ESA ont réussi à photographier la célèbre nébuleuse du Crabe qui est un rémanent de supernova résultant de l’explosion d’une étoile en supernova. Il s’agit de la première supernova connue de l’humanité. L’explosion avait été observée dans l’hémisphère nord en 1054.
Les télescopes de la NASA et de l’ESA ont réussi à photographier la célèbre nébuleuse du Crabe qui est un rémanent de supernova résultant de l’explosion d’une étoile en supernova. Il s’agit de la première supernova connue de l’humanité. L’explosion avait été observée dans l’hémisphère nord en 1054.
© Photo NASA/JHUAPL/SwRIEn septembre, le site de la NASA a mis en ligne la première carte officielle de Pluton. On peut y lire le nom de Clyde Tombaugh, qui est connu pour avoir découvert cette planète, et y distinguer des plaines et des vallées qui portent les noms du Spoutnik soviétique, des Voyager américains et du Hayabusa japonais.
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© Photo NASA/JHUAPL/SwRI
En septembre, le site de la NASA a mis en ligne la première carte officielle de Pluton. On peut y lire le nom de Clyde Tombaugh, qui est connu pour avoir découvert cette planète, et y distinguer des plaines et des vallées qui portent les noms du Spoutnik soviétique, des Voyager américains et du Hayabusa japonais.
© Photo NASA/Jack FischerEn août, les cosmonautes russes Fiodor Iourtchikhine et Sergueï Riazanski (sur la photo) sont sortis dans l’espace. Pendant leur mission de 7 heures 34 minutes, ils ont mis en orbite cinq nano-satellites, préparé le module Poisk pour des tâches ultérieures et effectué une série d’expériences.
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© Photo NASA/Jack Fischer
En août, les cosmonautes russes Fiodor Iourtchikhine et Sergueï Riazanski (sur la photo) sont sortis dans l’espace. Pendant leur mission de 7 heures 34 minutes, ils ont mis en orbite cinq nano-satellites, préparé le module Poisk pour des tâches ultérieures et effectué une série d’expériences.
© Photo NASA/ JPL-Caltech/Space Science InstituteL’équipe de la sonde Cassini a publié des photos des anneaux de Saturne sur lesquelles on voit l’ombre de la planète. Dans deux ans, elle aura atteint son maximum et recouvrira intégralement les anneaux.
L’équipe de la sonde Cassini a publié des photos des anneaux de Saturne sur lesquelles on voit l’ombre de la planète. Dans deux ans, elle aura atteint son maximum et recouvrira intégralement les anneaux.
© Photo NASA/JPL-Caltech/Space Science InstituteEn août, la sonde Cassini a transmis des images de Titan, un des satellites de Saturne. A l’aide de son radar, de son spectromètre infrarouge et de sa caméra thermique, la sonde a réussi à percer la brume composée d’hydrocarbures (à gauche) et scanner toute la surface de Titan.
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© Photo NASA/JPL-Caltech/Space Science Institute
En août, la sonde Cassini a transmis des images de Titan, un des satellites de Saturne. A l’aide de son radar, de son spectromètre infrarouge et de sa caméra thermique, la sonde a réussi à percer la brume composée d’hydrocarbures (à gauche) et scanner toute la surface de Titan.
© Photo LIGO/Caltech/MIT/Sonoma State (Aurore Simonnet)Le détecteur d’ondes gravitationnelles LIGO (Laser Interferometer Gravitational-Wave Observatory) a détecté les ondes gravitationnelles émises par la fusion de deux trous noirs aux axes de rotation différents, ce qui signifie que ces trous noirs ne se sont pas formés ensemble.
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© Photo LIGO/Caltech/MIT/Sonoma State (Aurore Simonnet)
Le détecteur d’ondes gravitationnelles LIGO (Laser Interferometer Gravitational-Wave Observatory) a détecté les ondes gravitationnelles émises par la fusion de deux trous noirs aux axes de rotation différents, ce qui signifie que ces trous noirs ne se sont pas formés ensemble.
© Photo NASA, JPL-Caltech/Space Science InstituteLa sonde Cassini a photographié en août dernier des nuages se déplaçant dans des directions différentes au-dessus de l’un des satellites de Saturne. Des turbulences à l’endroit de la collision des flux expliquent la structure ondulée des nuages.
La sonde Cassini a photographié en août dernier des nuages se déplaçant dans des directions différentes au-dessus de l’un des satellites de Saturne. Des turbulences à l’endroit de la collision des flux expliquent la structure ondulée des nuages.
© Photo ESOLe Très Grand Télescope a photographié la nébuleuse de la Patte de Chat (NGC 6334, en haut à droite) et la nébuleuse d’Omar, ou Guerre et Paix (NGC 6357, en bas à gauche). Ces nébuleuses sont des pépinières d’étoiles – c’est là où naissent des étoiles chaudes dont la lumière confère sa couleur rouge à la couche d’hydrogène les entourant.
Le Très Grand Télescope a photographié la nébuleuse de la Patte de Chat (NGC 6334, en haut à droite) et la nébuleuse d’Omar, ou Guerre et Paix (NGC 6357, en bas à gauche). Ces nébuleuses sont des pépinières d’étoiles – c’est là où naissent des étoiles chaudes dont la lumière confère sa couleur rouge à la couche d’hydrogène les entourant.
© Photo NASA, JPL-Caltech/UCLA/MPS/DLR/IDADes clichés pris par la sonde Dawn le 29 avril dernier, au moment où l’appareil se trouvait entre le Soleil et Cérès, permettent de voir dans les moindres détails la surface de cette planète naine y compris ses cryovolcans «éteints», des glaces et des taches blanches de vapeur d’eau.
Des clichés pris par la sonde Dawn le 29 avril dernier, au moment où l’appareil se trouvait entre le Soleil et Cérès, permettent de voir dans les moindres détails la surface de cette planète naine y compris ses cryovolcans «éteints», des glaces et des taches blanches de vapeur d’eau.
© Photo NOAA/NASALe satellite GOES-16 mis en orbite fin novembre 2016 a transmis en janvier ses premières photos en haute définition. Dans l’avenir, des photos d’une telle définition permettront aux scientifiques de suivre pratiquement en temps réel les éruptions volcaniques et les feux sur toute la surface de la planète.
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© Photo NOAA/NASA
Le satellite GOES-16 mis en orbite fin novembre 2016 a transmis en janvier ses premières photos en haute définition. Dans l’avenir, des photos d’une telle définition permettront aux scientifiques de suivre pratiquement en temps réel les éruptions volcaniques et les feux sur toute la surface de la planète.
© Photo ESA / Hubble & NASA, Acknowledgement: Judy SchmidtA l’aide du télescope Hubble, les scientifiques ont réussi à photographier la mort d’une étoile. Sur la photo, on voit la nébuleuse de l’Œuf pourri (OH 231.8+04.2) qui est en train de se transformer en nébuleuse planétaire.
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© Photo ESA / Hubble & NASA, Acknowledgement: Judy Schmidt
A l’aide du télescope Hubble, les scientifiques ont réussi à photographier la mort d’une étoile. Sur la photo, on voit la nébuleuse de l’Œuf pourri (OH 231.8+04.2) qui est en train de se transformer en nébuleuse planétaire.
© Photo NASA/JPL-Caltech/SwRI/MSSSLa sonde Juno a fait des photos de Jupiter d’une netteté exceptionnelle sur lesquelles on voit une énorme tempête dont la taille est égale à un quart de celle de la Terre, qui s’est formée récemment dans l’hémisphère nord de la planète géante.
La sonde Juno a fait des photos de Jupiter d’une netteté exceptionnelle sur lesquelles on voit une énorme tempête dont la taille est égale à un quart de celle de la Terre, qui s’est formée récemment dans l’hémisphère nord de la planète géante.
CC BY-SA 3.0 / ESA/DLR/FU Berlin / L’Agence spatiale européenne a publié le 14 décembre dernier un cliché exceptionnel de Mars. La photo a été prise par la sonde Mars Express qui a survolé la planète du nord au sud. On y voit une zone recouverte de glace, des paysages rouges de l’équateur, des rifts, des canyons et des volcans de Mars, dont l’Alba Mons, le plus vaste volcan de la planète.
L’Agence spatiale européenne a publié le 14 décembre dernier un cliché exceptionnel de Mars. La photo a été prise par la sonde Mars Express qui a survolé la planète du nord au sud. On y voit une zone recouverte de glace, des paysages rouges de l’équateur, des rifts, des canyons et des volcans de Mars, dont l’Alba Mons, le plus vaste volcan de la planète.
© Photo Roskosmos / Sergey RyazanskyLe cosmonaute russe Sergueï Riazanski a photographié depuis l’ISS les îles Carolines situées dans l’ouest de l’océan Pacifique.
Le cosmonaute russe Sergueï Riazanski a photographié depuis l’ISS les îles Carolines situées dans l’ouest de l’océan Pacifique.
© Photo ALMA (ESO/NAOJ/NRAO), J. Bally/H. Drass et al.ALMA (ESO/NAOJ/NRAO), J. Bally/H. Drass et al.Les astronomes ont observé pour la première fois une collision entre deux étoiles qui venaient de naître dans la constellation d’Orion. L’explosion résultant de cette collision a provoqué un puissant «feu d’artifice» spatial dont l’énergie serait suffisante pour que le Soleil reste en activité pendant 10 millions d’années. Le gaz émis se déplace à la vitesse de 150 km/s, soit celle à laquelle le Soleil tourne autour du centre de notre système. Quant aux étoiles, elles ont survécu au choc et sont en train de s’éloigner l’une de l’autre respectivement à 13 km/s et 29 km/s.
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© Photo ALMA (ESO/NAOJ/NRAO), J. Bally/H. Drass et al.ALMA (ESO/NAOJ/NRAO), J. Bally/H. Drass et al.
Les astronomes ont observé pour la première fois une collision entre deux étoiles qui venaient de naître dans la constellation d’Orion. L’explosion résultant de cette collision a provoqué un puissant «feu d’artifice» spatial dont l’énergie serait suffisante pour que le Soleil reste en activité pendant 10 millions d’années. Le gaz émis se déplace à la vitesse de 150 km/s, soit celle à laquelle le Soleil tourne autour du centre de notre système. Quant aux étoiles, elles ont survécu au choc et sont en train de s’éloigner l’une de l’autre respectivement à 13 km/s et 29 km/s.
© Photo NASA, Joel KowskyLa Station spatiale internationale avec six cosmonautes à son bord est passée le 2 décembre dernier à côté de la Lune à une vitesse d’environ 9 km/s.
La Station spatiale internationale avec six cosmonautes à son bord est passée le 2 décembre dernier à côté de la Lune à une vitesse d’environ 9 km/s.
© AP Photo / NASA/Chandra X-ray Observatory/M.WeissCette année les astronomes ont accidentellement découvert dans la constellation de la Vierge un étrange trou noir qui depuis plus de 11 ans absorbe des quantités d’énergie record ce qui devrait lui faire dépasser la limite d’Eddington, à savoir la quantité de matière qu’un trou noir est capable d’absorber avant d’éjecter la matière absorbée.
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© AP Photo / NASA/Chandra X-ray Observatory/M.Weiss
Cette année les astronomes ont accidentellement découvert dans la constellation de la Vierge un étrange trou noir qui depuis plus de 11 ans absorbe des quantités d’énergie record ce qui devrait lui faire dépasser la limite d’Eddington, à savoir la quantité de matière qu’un trou noir est capable d’absorber avant d’éjecter la matière absorbée.
© Photo GSFC/Solar Dynamics ObservatoryL’année 2017 fut marquée par les maximums de l’activité solaire de ces 12 dernières années accompagnée d’éjections de masse coronale. Les éruptions d’une très grande intensité ont provoqué des orages géomagnétiques sur la Terre.
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© Photo GSFC/Solar Dynamics Observatory
L’année 2017 fut marquée par les maximums de l’activité solaire de ces 12 dernières années accompagnée d’éjections de masse coronale. Les éruptions d’une très grande intensité ont provoqué des orages géomagnétiques sur la Terre.
© Photo Roskosmos / Fedor YurchikhinLe vaisseau piloté Soyouz MS-05 avec à son bord le Russe Sergueï Riazanski, l'Américain Randolph Bresnik et l'Italien Paolo Nespoli s’est amarré le 29 juillet dernier à la Station spatiale internationale.
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© Photo Roskosmos / Fedor Yurchikhin
Le vaisseau piloté Soyouz MS-05 avec à son bord le Russe Sergueï Riazanski, l'Américain Randolph Bresnik et l'Italien Paolo Nespoli s’est amarré le 29 juillet dernier à la Station spatiale internationale.
© Photo /JPL-Caltech/SwRI/MSSS/Gerald Eichstädt /Seán DoranGrâce à la caméra JunoCam et à la sonde Juno, les scientifiques ont réussi en août dernier à faire des photos détaillées du sud de Jupiter. Sur cette photo, on voit la Grande Tache rouge qui est un gigantesque anticyclone dans l’atmosphère de la planète.
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© Photo /JPL-Caltech/SwRI/MSSS/Gerald Eichstädt /Seán Doran
Grâce à la caméra JunoCam et à la sonde Juno, les scientifiques ont réussi en août dernier à faire des photos détaillées du sud de Jupiter. Sur cette photo, on voit la Grande Tache rouge qui est un gigantesque anticyclone dans l’atmosphère de la planète.
© Photo ESA/Hubble & NASALe télescope Hubble a fait des photos détaillées de la galaxie naine spirale NGC 5949 dans la constellation du Dragon.
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© Photo ESA/Hubble & NASA
Le télescope Hubble a fait des photos détaillées de la galaxie naine spirale NGC 5949 dans la constellation du Dragon.
© Photo NASA/JPL-Caltech/Space Science InstituteSur ce collage de clichés transmis par la sonde Cassini, on voit l’hémisphère nord de Saturne à travers différents filtres spectraux.
Sur ce collage de clichés transmis par la sonde Cassini, on voit l’hémisphère nord de Saturne à travers différents filtres spectraux.
© Photo Roskosmos/Sergey RyazanskyLe cosmonaute russe Sergueï Riazanski a fait depuis l’ISS une photo de la structure géologique de Richat, surnommée l’«œil de l’Afrique», dont le diamètre atteint 50 km. Il existe plusieurs versions de l’origine de ce phénomène naturel qui s’est formé il y a près de 600 millions d’années. Selon l’une d’elles, l’«œil de l’Afrique» serait le lieu de la chute d’un grand météorite.
Le cosmonaute russe Sergueï Riazanski a fait depuis l’ISS une photo de la structure géologique de Richat, surnommée l’«œil de l’Afrique», dont le diamètre atteint 50 km. Il existe plusieurs versions de l’origine de ce phénomène naturel qui s’est formé il y a près de 600 millions d’années. Selon l’une d’elles, l’«œil de l’Afrique» serait le lieu de la chute d’un grand météorite.
© Photo ALMA (ESO/NAOJ/NRAO)/L. Matrà/M. A. MacGregorLe grand réseau d'antennes millimétriques/submillimétriques de l'Atacama (ALMA) a publié les photos les plus nettes jamais obtenues de l'étoile Fomalhaut, surnommé l’«Œil de Sauron». Éloignée à 25 années-lumière de la Terre, elle est deux fois plus grande et 18 fois plus brillante que le Soleil. Le disque de poussières et de gaz qui entoure l’étoile se trouve à la distance de 20 milliards de kilomètres de Fomalhaut, soit deux fois la distance entre le Soleil et Pluton.
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© Photo ALMA (ESO/NAOJ/NRAO)/L. Matrà/M. A. MacGregor
Le grand réseau d'antennes millimétriques/submillimétriques de l'Atacama (ALMA) a publié les photos les plus nettes jamais obtenues de l'étoile Fomalhaut, surnommé l’«Œil de Sauron». Éloignée à 25 années-lumière de la Terre, elle est deux fois plus grande et 18 fois plus brillante que le Soleil. Le disque de poussières et de gaz qui entoure l’étoile se trouve à la distance de 20 milliards de kilomètres de Fomalhaut, soit deux fois la distance entre le Soleil et Pluton.
© Photo NASA Earth Observatory image by Joshua StevensLes chercheurs de la NASA ont mis à jour la carte nocturne de la Terre. Les photos ont été prises depuis le satellite Suomi. Ce sont les photos les plus nettes des lieux habités de la planète qui existent à l’heure actuelle.
Les chercheurs de la NASA ont mis à jour la carte nocturne de la Terre. Les photos ont été prises depuis le satellite Suomi. Ce sont les photos les plus nettes des lieux habités de la planète qui existent à l’heure actuelle.