Il est également indiqué que la Corée du Nord n'est pas intéressée par des négociations avec les États-Unis, «devenus un bouc émissaire de la communauté internationale».
«Tant que nous ne nous débarrasserons pas des problèmes fondamentaux, tels que la politique hostile des États-Unis et la menace nucléaire qu'ils annoncent, nous ne négocierons pas sur les questions relative à nos programmes balistiques et nucléaires», relate l'article, soulignant que Pyongyang a besoin d'armes nucléaires pour protéger sa souveraineté et la survie de son peuple.
Comme l'indique l'article, le secrétaire d'État des États-Unis, Rex Tillerson, essaie de remettre sur la Corée du Nord la responsabilité de l'aggravation de la situation sur la péninsule coréenne.
«Nous pouvons le voir uniquement comme une tentative de poser les fondements pour manipuler le Conseil de sécurité de l'Onu afin d'adopter de nouvelles résolutions sur les sanctions», conclu l'article.
Les tensions autour de la péninsule coréenne sont montées d'un cran après que la Corée du Nord a procédé fin novembre à un nouveau tir de missile balistique. Les États-Unis et la Corée du Sud ont, à leur tour, lancé des exercices militaires d'envergure.