«Nous n'exigeons pas la levée de toutes les sanctions, nous demandons certaines exceptions pour assurer la protection de notre Président et celle de nos garde-frontières maritimes», a fait savoir M.Siala.
En octobre dernier, le chef du gouvernement d'unité nationale siégeant à Tripoli, Faïez Sarraj, a estimé que la Libye n'était pas en mesure de lutter contre l'émigration illégale sans obtenir une levée partielle de l'embargo sur les armes permettant de renforcer la surveillance de ses frontières maritimes et terrestres.
«Nous sommes conscients du fait que l'heure n'est pas encore venue pour la levée de toutes les sanctions. Mais ce processus doit progresser un peu pour que ceux qui ont combattu le terrorisme puissent obtenir des armes assez efficaces», explique le chef de la diplomatie libyenne.