Découvrez les réactions à la décision de Trump à travers le monde dans ce diaporama réalisé par Sputnik.
© AP Photo / Omer KuscuLe chef d'État américain, Donald Trump, a déclaré ce 6 décembre que Washington reconnaîtrait Jérusalem comme capitale d’Israël. Selon lui, les Juifs ont construit un État souverain et ont le droit de décider où se trouve leur capitale. Trump a souligné que le choix de Jérusalem en tant que capitale était le bon.
Sur la photo: des manifestants devant le consulat des États-Unis à Istanbul.
Sur la photo: des manifestants devant le consulat des États-Unis à Istanbul.
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© AP Photo / Omer Kuscu
Le chef d'État américain, Donald Trump, a déclaré ce 6 décembre que Washington reconnaîtrait Jérusalem comme capitale d’Israël. Selon lui, les Juifs ont construit un État souverain et ont le droit de décider où se trouve leur capitale. Trump a souligné que le choix de Jérusalem en tant que capitale était le bon.
Sur la photo: des manifestants devant le consulat des États-Unis à Istanbul.
Sur la photo: des manifestants devant le consulat des États-Unis à Istanbul.
© AFP 2024 Mahmud HamsLa décision de Trump a suscité une opposition résolue au Proche-Orient. Les Palestiniens considèrent l’est de la ville comme la capitale de leur futur État.
Sur la photo: des Palestiniens brûlent un drapeau des États-Unis pendant les manifestations dans la bande de Gaza.
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© AFP 2024 Mahmud Hams
La décision de Trump a suscité une opposition résolue au Proche-Orient. Les Palestiniens considèrent l’est de la ville comme la capitale de leur futur État.
Sur la photo: des Palestiniens brûlent un drapeau des États-Unis pendant les manifestations dans la bande de Gaza.
Sur la photo: des Palestiniens brûlent un drapeau des États-Unis pendant les manifestations dans la bande de Gaza.
© AFP 2024 Mari MatsuriLe dirigeant palestinien Mahmoud Abbas a déclaré que la décision de Trump signifiait le retrait des États-Unis du processus de paix au Proche-Orient et que Washington n’aurait pas le droit d’intervenir en médiateur dans le règlement du problème israélo-palestinien.
Sur la photo: une manifestante devant la Maison-Blanche à Washington.
Sur la photo: une manifestante devant la Maison-Blanche à Washington.
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© AFP 2024 Mari Matsuri
Le dirigeant palestinien Mahmoud Abbas a déclaré que la décision de Trump signifiait le retrait des États-Unis du processus de paix au Proche-Orient et que Washington n’aurait pas le droit d’intervenir en médiateur dans le règlement du problème israélo-palestinien.
Sur la photo: une manifestante devant la Maison-Blanche à Washington.
Sur la photo: une manifestante devant la Maison-Blanche à Washington.
© AFP 2024 Ozan KoseLes dirigeants de la plupart des pays du Proche-Orient ont vivement critiqué les déclarations du Président américain. Le chef d'État turc Recep Tayyip Erdogan a menacé de rompre les relations diplomatiques avec Israël. Le roi d’Arabie saoudite Salmane a prédit une nouvelle vague de violence dans la région à cause de l’humiliation des musulmans.
Sur la photo: des manifestants devant le consulat des États-Unis à Istanbul.
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© AFP 2024 Ozan Kose
Les dirigeants de la plupart des pays du Proche-Orient ont vivement critiqué les déclarations du Président américain. Le chef d'État turc Recep Tayyip Erdogan a menacé de rompre les relations diplomatiques avec Israël. Le roi d’Arabie saoudite Salmane a prédit une nouvelle vague de violence dans la région à cause de l’humiliation des musulmans.
Sur la photo: des manifestants devant le consulat des États-Unis à Istanbul.
Sur la photo: des manifestants devant le consulat des États-Unis à Istanbul.
© REUTERS / Ibraheem Abu MustafaÀ Téhéran, la décision de Trump est considérée comme une provocation irraisonnable, conduisant à une possible intifada.
Sur la photo: des Palestiniens brûlent des affiches avec le portrait de Donald Trump à Bethléem.
Sur la photo: des Palestiniens brûlent des affiches avec le portrait de Donald Trump à Bethléem.
À Téhéran, la décision de Trump est considérée comme une provocation irraisonnable, conduisant à une possible intifada.
Sur la photo: des Palestiniens brûlent des affiches avec le portrait de Donald Trump à Bethléem.
Sur la photo: des Palestiniens brûlent des affiches avec le portrait de Donald Trump à Bethléem.
© AFP 2024 Yasin AkgulLe Président égyptien Abdel Fattah al-Sissi s’est opposé lui aussi à la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël. Il l’a déclaré lors d’un entretien téléphonique avec Mahmoud Abbas.
Sur la photo: des participants à une manifestation anti-israélienne et anti-américaine à Istanbul.
Sur la photo: des participants à une manifestation anti-israélienne et anti-américaine à Istanbul.
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© AFP 2024 Yasin Akgul
Le Président égyptien Abdel Fattah al-Sissi s’est opposé lui aussi à la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël. Il l’a déclaré lors d’un entretien téléphonique avec Mahmoud Abbas.
Sur la photo: des participants à une manifestation anti-israélienne et anti-américaine à Istanbul.
Sur la photo: des participants à une manifestation anti-israélienne et anti-américaine à Istanbul.
© AFP 2024 Adem AltanLes dirigeants européens ont qualifié la décision de Trump de déstabilisatrice. Les dirigeants de plusieurs pays et le pape François ont exhorté Trump à réfléchir.
Sur la photo: des policiers dans une rue d’Ankara pendant les manifestations contre la décision de Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël.
Sur la photo: des policiers dans une rue d’Ankara pendant les manifestations contre la décision de Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël.
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© AFP 2024 Adem Altan
Les dirigeants européens ont qualifié la décision de Trump de déstabilisatrice. Les dirigeants de plusieurs pays et le pape François ont exhorté Trump à réfléchir.
Sur la photo: des policiers dans une rue d’Ankara pendant les manifestations contre la décision de Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël.
Sur la photo: des policiers dans une rue d’Ankara pendant les manifestations contre la décision de Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël.
© REUTERS / Ibraheem Abu Mustafa«Nous estimons que cette décision n’est pas favorable au plan de règlement pacifique dans la région», a déclaré la Première ministre britannique Theresa May. Elle a ajouté que Londres n’entendait pas déplacer son ambassade de Tel Aviv à Jérusalem.
Sur la photo: des Palestiniens protestent contre la décision de Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël.
Sur la photo: des Palestiniens protestent contre la décision de Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël.
«Nous estimons que cette décision n’est pas favorable au plan de règlement pacifique dans la région», a déclaré la Première ministre britannique Theresa May. Elle a ajouté que Londres n’entendait pas déplacer son ambassade de Tel Aviv à Jérusalem.
Sur la photo: des Palestiniens protestent contre la décision de Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël.
Sur la photo: des Palestiniens protestent contre la décision de Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël.
© AFP 2024 Yasin AkgulLa plupart des pays refusent de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël, soulignant la nécessité de rechercher un compromis avec les Palestiniens.
Sur la photo: des participants à une manifestation anti-israélienne et anti-américaine à Istanbul.
Sur la photo: des participants à une manifestation anti-israélienne et anti-américaine à Istanbul.
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© AFP 2024 Yasin Akgul
La plupart des pays refusent de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël, soulignant la nécessité de rechercher un compromis avec les Palestiniens.
Sur la photo: des participants à une manifestation anti-israélienne et anti-américaine à Istanbul.
Sur la photo: des participants à une manifestation anti-israélienne et anti-américaine à Istanbul.
© REUTERS / Osman Orsal Quand Israël a accédé à l’indépendance en 1948, il était prévu de fonder sur ce territoire deux États: juif et arabe. Israël contrôlait à l’époque l’ouest de Jérusalem et les Palestiniens l’est de la ville où se trouvent la vieille ville et le mont du Temple. Israël a occupé à l’issue de la guerre de 1967 la Cisjordanie avec Jérusalem-Est et a proclamé Jérusalem sa capitale «une et indivisible». Cependant, la communauté internationale, États-Unis compris, n’a pas reconnu la victoire et a considéré Jérusalem-Est comme un «territoire occupé». Ce territoire étant litigieux, toutes les ambassades étrangères, même américaine, se trouvent à Tel Aviv.
Sur la photo: des manifestants devant le consulat américain à Istanbul.
Sur la photo: des manifestants devant le consulat américain à Istanbul.
Quand Israël a accédé à l’indépendance en 1948, il était prévu de fonder sur ce territoire deux États: juif et arabe. Israël contrôlait à l’époque l’ouest de Jérusalem et les Palestiniens l’est de la ville où se trouvent la vieille ville et le mont du Temple. Israël a occupé à l’issue de la guerre de 1967 la Cisjordanie avec Jérusalem-Est et a proclamé Jérusalem sa capitale «une et indivisible». Cependant, la communauté internationale, États-Unis compris, n’a pas reconnu la victoire et a considéré Jérusalem-Est comme un «territoire occupé». Ce territoire étant litigieux, toutes les ambassades étrangères, même américaine, se trouvent à Tel Aviv.
Sur la photo: des manifestants devant le consulat américain à Istanbul.
Sur la photo: des manifestants devant le consulat américain à Istanbul.