Un programmeur néozélandais a créé le premier homme politique virtuel, qui a une voix féminine et est affublé du nom de SAM. Il communique avec ses électeurs, réels ceux-ci, à l'aide de Facebook Messenger, relate la chaîne américaine CNN.
«Ma mémoire est illimitée, si bien que je n'oublie jamais et tiens compte de tout ce que vous me dites. Contrairement aux réels hommes politiques, je prends compte de manière impartiale de l'opinion de toutes les personnes concernées», affirme le bot.
Il est évident que SAM ne pourrait pas répondre à toutes les questions qu'on lui poserait. Ainsi, il préférera passer sous silence l'accord de partenariat transpacifique (TPP), le nucléaire nord-coréen et la politique du Président Trump. «Toute contribution est utile, même si je n'ai pas encore de réponse définitive», a-t-il l'habitude de répondre dans ces cas.
Toutefois, le bot n'a pas sa langue dans sa poche lorsqu'il est question du réchauffement climatique et du système de santé de la Nouvelle-Zélande.