«Lors du déplacement de ce jour, à Ouagadougou, un véhicule de la délégation a fait l'objet d'un jet de pierres. Mais ni centaines d'assaillants, ni voitures détruites.»
L’Élysée dément une « attaque massive », « une voiture a reçu des jets de pierres » — pas celle du Président. https://t.co/GfkabGADz2
— diane de fortanier (@diradefo) 28 ноября 2017 г.
Quelques minutes plus tard, le journaliste du Quotidien a supprimé son tweet, dont il a reconnu la maladresse.
La formulation de mon tweet était maladroite. Je vous prie de bien vouloir m'en excuser. Il y a bien eu un caillassage du convoi mais la phrase "on ne sait pas où est Macron" était alarmiste et n'avait aucun caractère informatif.
— Hugo Clément (@hugoclement) 28 ноября 2017 г.
Comme l’a signalé BFMTV, un minibus de la délégation française, qui accompagne Emmanuel Macron, a été «caillassé ce mardi sur le trajet de la visite». D’après ce média, «l'anicroche s'est soldée par une vitre cassée».
Selon le député du Rhône Bruno Bonnell, membre de la délégation française cité par BFMTV, l’incident est sans gravité.
Lundi soir, une grenade offensive a été lancée en direction d'un véhicule transportant des militaires français à Ouagadougou, blessant trois civils, quelques heures avant l'arrivée du Président français dans la capitale du Burkina Faso, rapporte Radio France Internationale (RFI) mardi sur son site internet.
D'après la radio, qui cite des informations en provenance des services de sécurité, l'engin a été lancé par deux individus cagoulés qui circulaient sur une motocyclette. Les deux individus ont pris la fuite, précise Reuters.
La grenade n'a pas atteint sa cible, précise RFI. Elle a explosé sur la chaussée et blessé trois personnes.
Emmanuel Macron est arrivé lundi soir tard au Burkina Faso, première étape d'une tournée africaine au cours de laquelle le chef de l'État français entend s'adresser à la jeunesse et défendre un partenariat «renouvelé» entre la France et l'Afrique.