Dans son rapport trimestriel rendu public ce lundi 13 novembre, l’Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a déclaré que Téhéran honorait bien ses engagements pris dans le cadre de l’accord nucléaire.
Ainsi, la République islamique ne détient à des degrés interdits ni n’a constitué de stocks illégaux d'uranium faiblement enrichi ou d'eau lourde, précise l’AFP.
L'accord sur le programme nucléaire iranien a été conclu entre Téhéran et les puissances du groupe P5+1 (États-Unis, Allemagne, France, Grande-Bretagne, Russie et Chine) le 14 juillet 2015, après douze ans de crises diplomatiques et d'âpres négociations.
Qualifié à l'époque d' «historique», le texte, qui encadre les activités nucléaires iraniennes en contrepartie d'une levée progressive des sanctions frappant la République islamique, est profondément fragilisé depuis la décision par Donald Trump de ne pas certifier au Congrès que Téhéran en respecte les termes.