«La prochaine étape sera d'interdiction le mot "Russie" dans la vie quotidienne. Ils diront "ce pays" à l'antenne, par exemple», a-t-elle écrit sur son compte Twitter.
А следующим этапом будет запрещение слова "Россия" в обиходе. Будут в эфирах говорить "та страна", например. https://t.co/yEeyZk71AS
— Маргарита Симоньян (@M_Simonyan) 9 ноября 2017 г.
Auparavant, il avait été signalé que dans le nouveau budget de la défense pour 2018, les sénateurs américains proposaient d'interdire aux diffuseurs aux États-Unis d'inclure dans leurs réseaux du «contenu vidéo d'État russe».
«Vous ne pouvez pas envisager la possibilité d'obligations pour les diffuseurs de transmettre le contenu de chaînes de télévision dans le cas où ce contenu serait en possession, contrôlé ou financé par le gouvernement de la Fédération de Russie.»
Le premier vice-président de la commission des affaires étrangères du Conseil de la Fédération (chambre haute du parlement russe), le sénateur Vladimir Jabarov, s'est dit confiant que la partie russe prendrait des mesures adéquates.
Récemment, Washington a exigé que les prestataires de services des médias russes, la chaîne RT America et le portail internet Sputnik, aux États-Unis soient enregistrés en tant qu'agents étrangers. Moscou, à son tour, avait déclaré que les pressions américaines sur Sputnik et RT ne devraient pas rester sans réponses.