«Les frappes de [missiles] Kalibr et de missiles air-sol montrent que les Forces aérospatiales russes peuvent parfaitement réduire leur groupe. La présence de nos forces en Syrie ne s’impose pas. Elles peuvent soutenir l’offensive des troupes syriennes contre les terroristes depuis la Méditerranée et la Caspienne et à l’aide d’attaques aériennes», a expliqué l’expert.
Et d’ajouter que les frappes de marins et de pilotes russes sur les positions des terroristes en Syrie apportaient une aide considérable à l’armée gouvernementale.
«Sans nos militaires et nos frappes, la libération de la Syrie de Daech aurait été retardée», a-t-il résumé.
Au cours de ces derniers jours, des bombardiers russes à long rayon d’action de type Tu-22M3 et le sous-marin Kolpino et Veliki-Novgorod ont effectué des frappes massives sur les positions de Daech dans l’est de la Syrie.