«Apparemment, "la guerre des nerfs" à l'issue imprévisible, y compris le recours probable aux scénarios de force, a débuté», indique un message sur la page officielle Facebook de M.Kossatchev.
«La déclaration de l'indépendance par le parlement catalan n'est probablement que la suite de la fuite en avant dans laquelle se sont engagés Madrid et Barcelone», a fait remarquer le sénateur russe.
C'est «la rue» et les résultats du référendum qui font pression sur Carles Puigdemont i Casamajó et c'est le devoir constitutionnel qui fait pression sur Madrid, a-t-il dit.
D'après M.Kossatchev, pour les deux parties il n'y existe qu'une seule voie: celle de s'entendre. Cependant, d'après lui, le fait de savoir si les deux parties «feront preuve de suffisamment de sagesse politique» est une question qui devient «de plus en plus aiguë».