«Nous ne sommes pas capables de réparer nous-mêmes l’ensemble des destructions, et pour cette raison nous devons nous adresser à nos amis russes (…). La Russie dispose d’une grande expérience et d’équipements techniques nécessaires pour reconstruire les infrastructures détruites et nous aider à exploiter de nouveaux gisements découverts pendant la guerre», a indiqué le responsable.
«Il faut entamer des travaux en cette matière sans attendre la fin de la guerre. Tout retard risque aujourd’hui de produire un effet négatif sur l’économie dans l’avenir», a souligné M.al-Youssef.
Toujours d’après l’interlocuteur de l’agence, entre 60 et 70 milliards de dollars seront nécessaires pour reconstruire les puits gaziers détruits par les terroristes en Syrie.