«Partageant l'avis de l'Agence internationale de l'énergie atomique, le Conseil de la Fédération invite les parlements chinois, français, allemand, britannique et européen à exercer leur haute influence sur les dirigeants de leurs pays afin de maintenir en vigueur l'accord historique sur le programme nucléaire iranien», lit-on dans le projet du document rédigé par la commission sénatoriale des affaires étrangères.
Selon eux, il n'existe aujourd'hui «aucune raison pour suspendre la coopération avec l'Iran sur son programme nucléaire». Les sénateurs russes estiment en outre que la nouvelle stratégie américaine à l'égard de l'Iran, annoncée par Donald Trump, risque de «provoquer une riposte de la part de Téhéran» et de «saper sa confiance» dans les puissances mondiales.