L’ancien directeur du FBI américain James Comey serait entré en collusion avec Hillary Clinton lors de l’enquête portant sur l’utilisation d’un serveur privé par l’ex-secrétaire d’État, a déclaré le Président américain Donald Trump.
«Le FBI confirme les informations selon lesquelles James Comey a rédigé une lettre exonérant la menteuse Hillary Clinton bien avant que l'enquête soit terminée. Beaucoup de personnes n'ont pas été interrogées, y compris Clinton elle-même. Comey a déclaré sous serment qu'il ne l'avait pas fait – sans doute une collusion? Où est le département de la Justice?», a écrit M.Trump sur Twitter.
Wow, FBI confirms report that James Comey drafted letter exonerating Crooked Hillary Clinton long before investigation was complete. Many..
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) 18 octobre 2017
…people not interviewed, including Clinton herself. Comey stated under oath that he didn't do this-obviously a fix? Where is Justice Dept?
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) 18 octobre 2017
Fin août, les sénateurs républicains ont adressé une lettre au FBI affirmant que l’ancien directeur du bureau James Comey avait rédigé une déclaration innocentant Mme Clinton bien avant la fin de l’enquête.
«Il s'est avéré que James Comey a menti, a été à l’origine des fuites d’information et a complètement protégé Hillary Clinton. Il était la meilleure chose qui lui soit jamais arrivée!», a ajouté M.Trump sur Twitter.
As it has turned out, James Comey lied and leaked and totally protected Hillary Clinton. He was the best thing that ever happened to her!
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) 18 octobre 2017
Le scandale sur l’utilisation d’un serveur de messagerie privée par la candidate démocrate Hillary Clinton à l’époque où elle était secrétaire d’État (2009-2013) a empoisonné sa campagne pour la présidentielle 2016. Les détracteurs de Mme Clinton lui ont reproché d’avoir rendu sa correspondance accessible aux pirates informatiques et d’avoir supprimé les courriels indésirables. Après une enquête, le FBI a conclu que les actions de Mme Clinton ne constituaient pas un crime, malgré la découverte d’une centaine de messages contenant des informations sensibles. James Comey a annoncé la réouverture de l’enquête dix jours avant la présidentielle.