Washington n'a pas de plan d'action précis à mettre en œuvre après la libération de Raqqa, indique la chaîne de télévision américaine NBC citant des sources officielles.
Selon des sources de NBC, certains des membres les plus conservateurs de l'administration Trump, y compris la représentante permanente des États-Unis à l'Onu, Nikki Haley, sont résolument favorables à la mise à l'écart du pouvoir de M.Assad.
Cependant, certaines personnes au sein du gouvernement américain sont persuadées que seul le Président syrien peut empêcher son pays de devenir un «trou noir capable d'absorber une grande partie de la région».
Les Forces démocratiques syriennes (FDS), une alliance arabo-kurde appuyée par les États-Unis, avaient auparavant annoncé avoir lancé une grande offensive pour reprendre Raqqa.
Selon les FDS, elles contrôlent aujourd'hui 90% de Raqqa. Damas avait précédemment qualifié d'illégales les actions de cette alliance arabo-kurde.