«Les références sur les profondes divergences entre nos pays, concernant en particulier la Syrie, reflètent, malheureusement, l'incompréhension fondamentale des objectifs de l'opération antiterroriste russe dans ce pays», a indiqué le premier vice-ministre russe des Affaires étrangères, Vladimir Titov.
Selon lui, de pareilles déclarations de Londres laissent croire qu'il se rend compte de la «futilité des efforts» de la coalition internationale dirigée par les États-Unis pour lutter efficacement contre le terrorisme en Syrie.
Vendredi, le ministère britannique des Affaires étrangères a annoncé que Boris Johnson se rendrait à Moscou en fin d'année pour discuter de l'Iran, du Proche-Orient et des questions de sécurité.