Le Président russe a souligné que les conditions visant à terminer «la guerre fratricide» en Syrie avaient été presque créées.
«Aujourd’hui, nous avons discuté de la Syrie et de l’Irak. Nous sommes tombés d’accord qu’il était crucial d’assurer l’intégrité territoriale de l’Irak et de la Syrie. Le référendum n’a aucune légitimité», a indiqué son homologue turc.
Et d’ajouter que les autorités du nord de l’Irak avaient commis une grossière erreur.
«Personne ne dispose d’un droit de transformer notre région en un point chaud.»
Vladimir Poutine est arrivé à l'aéroport d'Ankara jeudi soir, après quoi le cortège du Président s'est rendu à la résidence du dirigeant turc. Recep Erdogan a accueilli Vladimir Poutine à la porte de sa voiture, après quoi ils se sont dirigés vers l'entrée principale sur un tapis, le long duquel la garde d'honneur des soldats avait pris place.