«Il l'aurait appréciée puisqu'il s'est toujours considéré comme immortel. Mais ils ont commis une grave erreur. Dès le début, il était clair qu'elle n'était pas sa fille, nous le savions tous», a déclaré l'interlocuteur de l'agence.
«Sa mère lui disait des tas de choses, et elle lui croyait. Cette histoire laisse planer une ombre sur la réputation du grand peintre. Or, elle ne recevra pas un centime de son héritage», a indiqué M.Velilla.
«Il ne faut pas faire sa pelote sur les artistes. Il ne fallait pas exhumer Dali», affirme-t-il.
Si les tests avaient prouvé sa filiation, Mme Abel aurait pu prétendre à un quart de l'héritage de l'artiste, légué à sa mort à l'État espagnol et géré par la fondation Gala-Dali. Après l'annonce des résultats des tests, la fondation s'est félicitée de la «fin d'une polémique absurde et artificielle».