[gigantic cinematic roar] Gorgeous new book from @TASCHEN: Paleoart: Visions of the Prehistoric Past. cc @upulie https://t.co/hOdT1QEaqm pic.twitter.com/plk5F7ASiO
— Damon Young (@damonayoung) 15 juillet 2017
La façon dont les peintres des siècles passés dépeignaient les créatures préhistoriques, en particulier les dinosaures, serait largement prédéterminée par leur milieu national et culturel, si bien qu'un reptile peint en Russie différerait à bien des égards de ses homologues peints en France ou en Amérique latine.
Now reading #Paleoart: Visions of the Prehistoric Past. It's a visual treat. Here a pterosaur tries to steal a platypus from a teleosaur… pic.twitter.com/qkQsCPDWyA
— Tom Holland (@holland_tom) 20 août 2017
Du moins, c'est ce qu'estime l'historienne Zoë Lescaze dans son nouveau livre «Paläo-Art: Darstellungen der Urgeschichte» («Paléoart: Visions de la préhistoire»), paru récemment chez Taschen.
Literally something that's fascinated me since a child 👉🏾👉🏾 Paleoart: Visions of the prehistoric past — CNN https://t.co/BBP57R2kRn
— Jarren Simmons (@mindofgreens) 8 août 2017
«Les os sont une page blanche sur laquelle les peintres peuvent canaliser leur préoccupations culturelles», poursuit la chercheuse, ajoutant que le mouvement artistique en vogue à un moment donné pourrait également entrer en ligne de compte.
The Paris Review — Paleoart: Visions of a Prehistoric Past https://t.co/EiGU6Di1Tb
— Sarah K. Kozlowski (@SarahKateKL) 7 août 2017
Aussi, les illustrations de reptiles géants utilisés dans le livre se composent d'images colorées —environ deux cents au total — s'inscrivant dans tout un éventail de styles différents, y compris l'Art Nouveau et le Fauvisme.
*Paleoart: Visions of the Prehistoric Past* by Zoë Lescaze and Walton Ford (@Taschen) will be published soon https://t.co/lHaCg8hsyR #books pic.twitter.com/bfsI7tdU02
— Biswajit Dey (@busydey) 4 août 2017