À en croire le journal, le fait que Trump ait demandé au procureur général de renoncer à poursuivre Joe Arpaio, shérif trop zélé à l'encontre des immigrés hispaniques, pourrait donner lieu à de telles spéculations, le Président pouvant recourir à son droit de grâce en cas de nécessité.
Dans ce contexte, poursuit-il, tout recours en grâce présidentielle vis-à-vis du lanceur d'alerte serait dans les intérêts du Président, qui remet régulièrement en question le travail de la NSA, de la CIA, du FBI et du bureau du directeur des Renseignements nationaux.
Le 19 mai, le parquet suédois a pris la décision d'annuler le mandat d'arrêt à l'encontre d'Assange. Dans le même temps, la police du Royaume-Uni a annoncé que si le cofondateur de WikiLeaks sortait de l'ambassade à Londres, il serait immédiatement arrêté.