«Par exemple, un représentant de Total a assisté à l'entretien. Cette compagnie s'occupe très activement de nombreux projets en Russie, conjointement avec la compagnie Novatek. Elles mettent actuellement en œuvre un grand projet, Yamal-LNG, et envisagent le développement d'autres projets en Russie», a indiqué le ministre.
Les entreprises françaises sont satisfaites des investissements qu'elles ont déjà réalisés en Russie en 2014 et 2015, pendant une période compliquée pour l'économie russe, a-t-il ajouté.
Total veut en effet participer à un nouveau mégaprojet de gaz naturel liquéfié (GNL) dans le grand nord russe, baptisé Arctique-2 et lancé par le groupe gazier Novatek. Le coût du projet est pour l'instant évalué à environ 10 milliards de dollars. Cette ambition marque la volonté de Total d'accroître son portefeuille de GNL, constataient Les Echos.