«Nous ne resterons pas immobiles face à l'effondrement du Venezuela», indique la Maison-Blanche dans un communiqué annonçant ces sanctions.
«Ces mesures ont été soigneusement calibrées pour priver la dictature Maduro d'une source cruciale de financement», ajoute la Maison Blanche.
«Les États-Unis réitèrent leur appel au Venezuela à restaurer la démocratie, organiser des élections libres et équitables, libérer immédiatement et sans conditions tous les prisonniers politiques et mettre fin à la répression du peuple vénézuélien», ajoute l'exécutif américain.
«C'est la pire agression (…) et nous ne comprenons pasv, a déclaré le chef de la diplomatie vénézuélienne, Jorge Arreaza à la presse à l'issue d'un entretien avec le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres. Le Venezuela «est une démocratie» et «nous allons nous défendre», a-t-il ajouté.