Ainsi, d'après leurs recherches dont les résultats ont été publiés sur le portail arXiv.org, la fréquence de ce genre d'éclairs se situe dans un intervalle de 2000 ans. Le dernier éclair en date étant survenu en 775 les chercheurs prévoient que le suivant aura lieu en 2767.
«Nous supposons que les éclairs hyper-puissants sont susceptibles de détruire les organismes vivants, puisque leur fréquence correspond à certaines régularités relatant la disparition de la vie sur Terre. D'un autre côté, les éclairs d'une puissance bien plus faibles peuvent jouer un rôle bénéfique dans le développement de nouvelles formes de vies grâce à la formation de textures organiques», lit-on dans l'article.
Néanmoins, même les éclairs de faible puissance sont susceptibles de perturber la vie sur la planète, en endommageant par exemple le fonctionnement des systèmes électriques ou des satellites.