Après avoir interrogé 846 personnes, des psychiatres sont arrivés à la conclusion que les cauchemars sont liés non seulement au niveau général de stress, mais aussi à la durée de sommeil. Plus de neuf heures passées dans les bras de Morphée finissent souvent par un mauvais rêve, relate le magazine scientifique New Scientist.
L'étude a été effectuée sous forme d'un sondage en ligne et a également pris en compte les réponses aux questions sur la consommation d'alcool et le niveau de l'activité physique. Il s'est trouvé que ces facteurs ne sont pas la cause de cauchemars.
Probablement, un long sommeil implique une plus grande fréquence du sommeil paradoxal qui est caractérisé par les rêves les plus marquants. Les scientifiques devront encore établir plus précisément les causes des cauchemars en excluant les erreurs du à la méthode des sondages en ligne.